jueves, 11 de junio de 2009
Suscribirse a:
Enviar comentarios (Atom)
ICAD lutte pour mettre fin à la politique des disparitions dans le monde. A travers les luttes contre les disparitions et les violations des droits de l’homme, ICAD a pour objectif de créer un mouvement populaire indépendant.
Naissance d’ICAD
La lutte organisée contre les disparitions en garde à vue a commencé en Amérique Latine. La lutte des « Mères de
Du 17 au 19 mai 1996, «
Avec le but de coordonner et d’organiser la résistance contre les disparitions à échelle internationale, ICAD convoque des à des Conférences Internationales dans les pays où ont fait disparaître des personnes ou où se trouvent les responsables ou bien ceux qui les soutiennent dans l’ombre. ICAD est conscient que les disparitions sont un problème à dimension internationale et que les entreprises internationales jouent un rôle important dans cette question.
ICAD a réalisé la 2ème Conférence International Contre les Disparitions du 11 au 13 juillet 1997 à Bogota, Colombie, conjointement avec des organisations des Droits de l’Homme, ANDAS, qui luttait en Colombie. Deux membres du CINEP, une organisation que soutenaient
La 3ème Conférence Internationale Contre les Disparitions a été réalisée aux Iles Philippines, à Manille du 14 au 21 mai 1999, conjointement avec KARAPATAN, une organisation des Droits de l’Homme et avec DESAPARECIDOS, une organisation des proches des disparus. Pendant un programme des excursions de 2 jours avant
La 4ème Conférence a eu lieu du 17 au 21 mai 2002 à Nuremberg sous le thème « Globalisation, Droits de l’Homme superflus ? Disparition, torture, tribunaux militaires, prison et isolement, guerre, pauvreté ». La conférence a été enrichie par une exposition, une manifestation, un sit-in avec des photos des disparus et une fête de solidarité.
Avec sa 4ème Conférence, ICAD a rendu public encore une fois de plus le thème des disparitions, ses causes et les Etats et entreprises responsables. Pour la première fois une telle Conférence Internationale a été réalisée dans un pays indirectement responsable de la disparition forcée et autres violations aux droits de l’homme. Autant le thème « Globalisation, Droits de l’Homme superflus ? » comme aussi le choix de Nuremberg, a été une décision en toute conscience. Nuremberg –ville des droits de l’homme, ville où les tribunaux internationaux ont sentencié les crimes des Nazis et ville où se réalise dans les derniers années, une campagne contre l’ancien chargé de Mercedes Benz en Argentine ; Juan Tausselkraut, à cause des violations aux droits de l’homme, et où des procès et des peines de prison ont été accordés, ainsi que de demandes d’extradition contre des militaires argentins.
Des délégués de 13 pays : Argentine, Allemagne, Angleterre, France, Colombie, Népal, Pays Bas, Kurdistan du Nord, Oromia (Ethiopie), Palestine, Pérou, Suisse, Turquie, entre eux aussi les « Mères de
Les participants à
Qu’est que c’est
La disparition est une forme spéciale de violence de l’Etat contre le peuple. Il s’agit d’une disparition quand la personne est détenue ou emprisonnée sans que la détention soit reconnue par les autorités d’Etat et quand les informations ne sont pas transmisse à la famille et aux proches de la personne disparue. Une de choses les plus cruelles pour les familles de disparus est de ne pas savoir où ils sont leurs êtres chers, s’ils sont encore en vie ou morts.
La disparition est terrorisme d’Etat. En générale, la victime est torturée et assassinée. Quelques fois, ils laissent les cadavres pour qu’ils soient retrouvés, mais en général ils sont cachés ou détruits. Seulement dans des cas très rares, les victimes sont retrouvées vivantes. La terreur prend par cible les opposants à la politique de l’Etat. Chaque cas de disparition est un message aux autres mouvements politiques et sociaux pour qu’ils se taisent. De cette manière la terreur se propage.
Faire disparaître des personnes seulement peut avoir lieu comme résultat d’une politique souhaité par l’Etat et alors elle est autorisée par les cercles les plus hauts du gouvernement et de la direction militaire. Dans les pays où on fait disparaître des personnes existent des troupes spéciales pour mener ces opérations, il y a des prisons clandestines, beaucoup des méthodes de torture et des assassinats. Les représentants officielles utilisent plusieurs techniques de dénégation et de contre information. Tout ceci nécessite des ressources et de la coordination à l’intérieure de l’apparat de l’Etat.
La disparition est une, entre beaucoup d’autres formes de violation des droits de l’homme utilisés par l’Etat. Les Etats qui utilisent la méthode des disparitions, la pratiquent toujours comme une partie intégrante d’une stratégie anti-insurrectionnelle plus ample. Le contexte est une sale guerre -ouverte et clandestine-, lequel inclus la prohibition des organisations ; détentions des prisonniers politiques, torture systématique, des jugements de pantomime, assassinats et massacres.
Pourquoi il y a des disparitions ?
Les disparitions ont lieu dans des pays où il existe une grande injustice sociale, où l’insécurité est la base des conditions de vie de la grande majorité de la population. Inégalité et manque de justice donnent lieu à des forts mouvements de résistance dans le peuple. Quand les mouvements d’opposition commencent à défier le système, la minorité dominante agira pour défendre leurs intérêts. La minorité dominante envoi son apparat d’Etat pour mener des opérations non démocratiques et hors la loi contre le peuple.
Les Etats qui font disparaître n’agissent pas seuls. Ils ont des alliés forts que les défendent à échelle mondiale. En Amérique Latine, le continent où est née la disparition dans les temps modernes, cette politique a été commencée et appuyez amplement par les Etats-Unis. Sous le prétexte double d’anticommunisme et d’antiterrorisme, les Etats-Unis ont initié la politique des disparitions du Viet Nam jusqu’aux Iles Philippines, de Guatemala au Chili.
Parce qu’il n’existe pas un décret correspondant dans le système juridique internationale pour les déférer devant un Tribunal, les Etats qui pratiquent la disparition de personnes, échappent à une persécution pénale. Le même système juridique est formé selon les intérêts des Etats-Unis et d’autres puissances mondiales. Les nations riches et puissantes soutiennent activement les régimes qui pratiquent la disparition. Ainsi comme ils protègent aussi les armes et l’entraînement militaire. Si leurs intérêts le nécessitent, ils peuvent intervenir aussi directement.
La majorité des régimes qui font disparaître sont liés intimement avec le capital international. Ils ne manquent pas de faire du sale commerce pour assurer l’exploitation des richesses souterraines afin d’éliminer les obstacles devant les fournisseurs d’armes, pour utiliser de la main d’œuvre pas chère. Les sales guerres sont soutenues par des sales affaires- des affaires que transfèrent le bien être mondiale et le fruit du travail aux mains des grandes entreprises.
Qu’est ce que veut ICAD ?
ICAD souhaite que la politique internationale des disparitions se termine dans le monde entier.
ICAD croit qu’il est nécessaire de former des organisations indépendantes de base pour arrêter les disparitions et les violations aux droits de l’homme. Soutenir et augmenter la lutte qui est menée par les familles et proches des disparus et par leurs organisations contre les disparitions en garde à vue, celle-ci est un des tâches principales d’ICAD.
ICAD agit en toute conscience de que la lutte contre les disparitions en garde à vue ne peut être réalisée indépendamment de la lutte des peuples pour une vie sans tortures, assassinats, oppression et injustice.
ICAD considère la lutte des peuples pour la justice sociale nécessaire et juste. Travaille en collaboration avec les mouvements et organisations qui luttent pour la justice sociale, en incluant les familles des disparus. Soutient les mouvements sociaux et politiques des droits de l’homme.
ICAD est contre tout type de collaboration avec els Etats qu’utilise la méthode de la disparition. Défend le droit d’asile pour les réfugiées que s’échappent de ces Etats.
ICAD demande qu’un Tribunal International soit établi pour juger les responsables de disparitions en garde à vue.
Les responsables des disparitions peuvent agir librement car ils agissent sous le service et avec l’accord de l’Etat. Les Etats empêchent que le sort des disparus soient enquêtés et que les responsables soient trainés devant les Tribunaux et jugés, car ces mêmes Etats sont responsables des disparitions.
ICAD essaye de mener la lutte contre les disparitions en garde à vue à échelle internationale. Souhaite collaborer avec toutes les organisations locales et internationales qui luttent contre les disparitions et a pour objectif de créer une ample plateforme démocratique internationale en unissant telles organisations.
Comment fonctionne ICAD ?
ICAD organise des Congrès dans les pays où il y a eu des disparitions en garde à vue, où ils sont les responsables des disparitions et soutient la lutte des organisations sociales et des familles des disparus dans ces pays.
ICAD est organisée en sections et travaille pour créer un réseau international de communication.
ICAD mène des enquêtes et d’analyses pour porter le problème de la disparition en garde à vue sur l’agenda public, les résultats de ses enquêtes et organise des campagnes.
ICAD organise des campagnes avec les familles et proches des disparus pour les défendre.
ICAD organise « La semaine Internationale de
ICAD n’enquête pas seulement et sot à la lumière du jour les destins des disparus, mais aussi les causes, les responsables et les méthodes de tout type de répression. ICAD présente une information ample pour ouvrir la conscience sur les causes de disparition en garde à vue.
ICAD non seulement es contre les disparitions en garde à vue, mais aussi contre les tortures, les exécutions extrajudiciaires, l’isolement dans les prisons et tout autre type de violations aux droits de l’homme.
No hay comentarios:
Publicar un comentario